Affiche – L’art de démotiver les salariés
Affiche 223 – Affiche – L’art de démotiver les salariés
Affiche 223 – Affiche – L’art de démotiver les salariés
Les prix à la consommation ont augmenté de 1,3 % en France en novembre sur un an, selon une estimation provisoire de l’Insee, jeudi 28 novembre 2024. Le gouverneur de la banque de France a estimé que les conditions étaient « réunies » pour une réduction des taux d’intérêt.
L’Assemblée nationale et le Sénat sont parvenus ce 27 novembre à un compromis en commission mixte paritaire, sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. L’accord repose sur une moindre réduction des allègements de cotisations sociales patronales, et la suppression de la seconde journée de solidarité voulue par le Sénat.
Députés et sénateurs se réunissent ce mercredi 27 novembre pour tenter d’aboutir à un compromis sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2025. Les discussions devraient se crisper sur la question des allègements de cotisations patronales.
Les sénateurs ont entamé l’examen du budget. Si la majorité sénatoriale de droite et du centre soutient Michel Barnier et son objectif de 60 milliards d’économies, elle entend imprimer sa marque. Elle va supprimer la hausse des taxes sur l’électricité, compensée en partie par une hausse des taxes sur le gaz. Les sénateurs vont aussi limiter à 2.000 les suppressions de postes dans l’éducation, contre 4.000 dans le texte initial. L’effort demandé aux collectivités sera lui porté de 5 à 2 milliards d’euros.
La présence d’un grand syndicat catégoriel comme la CFE-CGC est essentielle pour que les spécificités de l’encadrement soient prises en compte et pour que les cadres travaillant dans les TPE aient des avantages qu’ils ne trouvent pas directement dans l’entreprise.
Ce 23 novembre, le Sénat a achevé l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2025. Il sera soumis à un vote global des sénateurs ce 26 novembre. Au cours des débats, plusieurs modifications ont été apportées au texte du gouvernement. Pour être inscrites dans la loi, elles doivent encore passer le barrage de la commission mixte paritaire, qui réunira députés et sénateurs le 27 novembre
Les sénateurs ont adopté un amendement mercredi afin de créer une deuxième journée annuelle de travail non rémunérée. L’objectif est de financer la branche autonomie de la Sécurité sociale. Les syndicats sont opposés à cette mesure qu’ils jugent “inéquitable” et proposent d’autres solutions.
-Communiqué de presse- La CFE-CGC signe les accords en faveur de l’emploi des salariés expérimentés et relatif à l’évolution du dialogue social, mais pas l’avenant sur l’assurance chômage.
Les sénateurs ont instauré dans le budget 2025 de la Sécurité sociale une « contribution de solidarité », destinée à financer les dépenses croissantes liées aux personnes âgées dépendantes. Celle-ci prendra la forme de 7 heures supplémentaires de travail dans l’année, non rémunérées. Les entreprises verseront à ce titre 2,5 milliards d’euros à la branche autonomie. Le gouvernement était défavorable à l’amendement, mais considère que « la question du temps de travail doit être posée ».