Les trois repreneurs potentiels d’Euriware rendront leur copie début août à l’actionnariat et à la direction d’Euriware, SSII fililale d’Areva. La direction d’Euriware en choisira un parmi eux dans les quinze premiers jours de septembre: ce qu’elle appelle “la solution la plus confortable, sans prise de risque”. La CFE-CGC est persuadée que la vente d’Euriware sera suivie par une baisse des effectifs salariés de la SSII de 7%. Elle estime que la vente d’Euriware vise à masquer un plan social dans le groupe Areva, gênant pour les Pouvoirs Publics. Elle exige l’étude de deux autres scenarii: l’arrêt de l’activité d’Euriware hors groupe Areva avec le maintien d’une informatique “strictement dédiée à Areva” à l’intérieur même d’Areva ou la restructuration d’Euriware gardée au sein d’Areva.
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