Chez Segula Matra Technologies (SMT), société de prestation en Ingénierie Automobile (sous-traitant de Renault et PSA entre autre) placée aujourd’hui sous activité partielle de longue durée (chômage partiel), la CFE-CGC constate que la direction invite certains salariés à négocier leur départ au motif que l’entreprise ne va pas bien et que nul ne connaît le délai de survie de celle-ci. Une intersyndicale s’est formée pour l’occasion et a alerté ces salariés par tract qu’ils ne devaient rien accepter ni signer. Près de 500 salariés ont quitté SMT en 2012. Ces départs n’ont pas été remplacés. Actuellement, des réorganisations internes sont en cours. Or, la direction omet de consulter les instances représentatives du personnel, commettant ainsi un délit d’entrave susceptible d’être constaté devant les tribunaux.
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